La technologie

Test TP-Link Tapo C100: une caméra intérieure très facile à installer

Alors que la plupart des appareils notre comparaison ont un champ de vision de 110 ° voire 120 °, le TP-Link Tapo C100 ne filme que sous un angle de 105 °. Son capteur filme en « LQ » (640 x 360 pixels) et en « HQ » (1920 x 1080 pixels) au maximum. Pour bien distinguer la différence de qualité entre ces deux modes, nous avons filmé notre scène de test en utilisant chacun d’eux. Nous avons ensuite pris un instantané des vidéos.

Comme on peut le voir, la définition supérieure montre plus de détails. Nous vous recommandons de l’utiliser afin de bénéficier d’un suivi plus précis. Les vidéos prennent alors évidemment plus de place sur la carte mémoire.

Le reste des tests est réalisé en Full HD et en comparant les images du TP-Link Tapo C100 avec celles du Yale SV-DFFI-W . Cette dernière est une autre caméra de surveillance intérieure filaire qui enregistre la vidéo localement – sur une carte microSD.

De jour

Yale SV-DFFI-W – Jour
TP-Link Tapo C100 – Jour

Les détails sont moins nombreux avec le TP-Link Tapo C100, comme on le voit avec la carte à droite. Mais, cette caméra gère bien le contraste et l’exposition, offrant une bonne visibilité dans les zones sombres sans surexposer l’image (par exemple le carré au-dessus du pinceau dans notre scène de test). En conséquence, les individus cachés dans l’obscurité seront plus facilement visibles. Enfin, même si les couleurs sont plus saturées avec le Tapo C100, elles sont quand même plus fidèles à la réalité que celles capturées par son rival.

Pour passer du mode jour au mode nuit, le Yale SV-DFFI-W a besoin de 9 secondes, contre 6 secondes pour le TP-Link Tapo C100; une vraie éternité. En effet, pendant ce laps de temps, les images sont inutilisables. Pour rappel, le Mini clignotement, une autre caméra intérieure filaire, n’a besoin que d’une seconde pour le même exercice.

De nuit

Yale SV-DFFI-W – Nuit
TP-Link Tapo C100 – Jour

En mode infrarouge, les détails sont moins précis avec le TP-Link Tapo C100, mais nous pouvons mieux distinguer les éléments dans les zones les plus sombres (comme le bouchon de la bouteille dans notre scène). De plus, il n’y a pas d’élément surexposé, contrairement à ce que vous voyez sur les clichés du Yale SV-DFFI-W avec la vignette à gauche du livre. Bref, le TP-Link Tapo C100 capture des vidéos peu détaillées, mais qui ont le mérite de ne rien oublier.

Le TP-Link Tapo C100 détecte un mouvement à 6,64 m et reconnaît un visage à 2,50 m. Une performance tout à fait correcte par rapport à celles des autres appareils de notre comparaison pour cet exercice. A titre de comparaison, le Yale SV-DFFI-W enregistre l’activité à 4,80 m et un individu est identifiable à 2,70 m.

Correction de la distorsion

Comme nous l’avons vu dans nos actualités de laboratoire, le TP-Link Tapo C100 a une fonction pour corriger la distorsion de l’image. Nous avons ainsi observé que l’image est recadrée pour réduire la distorsion en barillet, sans toutefois l’éliminer complètement. Le champ de vision de la caméra est réduit, bien qu’il soit déjà assez petit par défaut (105 °).

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Raimunde Michaud

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