AVB et Florian Thauvin à l’entraînement avant Porto. – Christophe SIMON / AFP
André Villas-Boas la chance. Il revient dans sa ville natale, les journalistes se précipitent dans la veine, et cela lui fait oublier ses malheurs du moment. «J’ai lu les articles qui étaient passionnants et qui m’ont fait revivre les moments vécus ici. Après, c’est ce que chacun ressent pour sa ville de naissance. J’y ai passé ma jeunesse, j’y ai ma famille, il y a mon club de cœur. C’est comme retourner à Marseille pour un Marseillais, ce sont deux villes qui ont du charisme. C’est viscéral, comme l’attachement ».
Marseille doit gagner pour ne pas égaler le triste bilan de 12 défaites d’affilée en Ligue des champions. L’OM affronte le FC Porto ce mardi soir, l’ancien entraîneur du club marseillais André Villas Boas #ApollineMatin pic.twitter.com/n8pQGGwwl2
– RMC (@RMCinfo) 3 novembre 2020
Très bien. Mais revenons sur le sujet. Déjà baissé dans la course de qualification, l’OM joue encore un peu plus que pour rien à Porto. C’est en effet à son honneur, puisque le dauphin du PSG l’année dernière, reste sur une série hallucinante de 11 défaites d’affilée en Ligue des champions, et le record absolu d’Anderlecht, 12 défaites d’affilée, s’approche dangereusement.
«Il faut pousser les joueurs à donner un peu plus. Si cela ne nous permet pas de prendre des points dans ce concours, nous devons faire mieux, a admis AVB lors d’une conférence de presse. Nous ne voulons pas battre ce record négatif. Mais pour participer à ces enregistrements, dans tous les cas, il faut y être. Si nous sommes ici, c’est parce que nous avons terminé deuxième la saison dernière. Mais c’est un groupe qui apprend, avec de nombreux joueurs novices en compétition ». Une excuse qui commence à faire chaud.
